César avait pour nom "Caius Julius Caesar" : Caius était son prénom, Julius était le nom de sa famille, et Caesar était son surnom (dont l’origine est mal connue)
Par la suite, et jusqu’au 11e siècle, les gens ne portaient qu’un seul nom. À partir du 11e siècle, on prit l’habitude d’ajouter des surnoms aux noms, pour pouvoir les distinguer. Ces surnoms désignaient par exemple le nom du père, un lieu, un titre, un métier, ou encore une particularité physique. Ils étaient souvent transmis de père en fils, et devinrent peu à peu les noms de famille que nous connaissons.
En France, l’attribution des noms et prénoms a été réglementée à plusieurs reprises. Par exemple, en 1474, Louis XI interdit de changer de nom sans une autorisation royale. En 1539, François Ier rendit obligatoire la tenue de registres de naissance, et cette tâche fut confiée aux curés. L’Église donna pour consigne qu’on attribut à chaque nouveau-né le prénom d’un saint, qui lui servirait de modèle ou de protecteur.
Jusqu’au début du Moyen Âge, nombreux étaient ceux qui portaient seulement un nom. Tant que les habitants restaient dans leur village, cela ne posait pas de problème. Mais plus ils se déplaçaient, plus il y avait de chance qu’ils rencontrent un homonyme. Pour marquer la différence entre les uns et les autres, on ajouta donc un autre nom: François d’Assise ou Pierre Boucher, par exemple.
La plupart de nos noms de famille tirent leur origine d’un métier (Berger, Marchand ou Fischer, qui signifie pêcheur en allemand), d’un lieu (Auberson, Denoréaz, Basler, Zürcher) ou d’une caractéristique morale ou physique (Petit, Grand, Courtois, Gentil). Nos patronymes peuvent également dériver du nom du père auquel on ajoute un préfixe signifiant «fils»: -son en Angleterre, -sen au Danemark, -ez en Espagne, -wiecz en Pologne ...
Dans le monde, il existe diverses manières de composer un nom de famille.
En Espagne, par exemple, les enfants reçoivent le nom de leurs deux parents. Sur ce modèle, les enfants de Stéphane Meier et Louise Martin s’appelleraient donc Meier Martin. En Islande, en revanche, ce sont les prénoms des parents qui déterminent le nom: ainsi, si c’est un garçon, il s’appellera Stefansson (fils de Stefan) et si c’est une fille, Stefansdottir (fille de Stefan). Il arrive toutefois qu’on utilise le prénom maternel, ce qui donne des noms comme Helguson et Helgudottir. En Russie les femmes prennent un A à la fin de leur nom de famille . Marat Safin donne Dinara Safina pour sa soeur.
En Espagne, par exemple, les enfants reçoivent le nom de leurs deux parents. Sur ce modèle, les enfants de Stéphane Meier et Louise Martin s’appelleraient donc Meier Martin. En Islande, en revanche, ce sont les prénoms des parents qui déterminent le nom: ainsi, si c’est un garçon, il s’appellera Stefansson (fils de Stefan) et si c’est une fille, Stefansdottir (fille de Stefan). Il arrive toutefois qu’on utilise le prénom maternel, ce qui donne des noms comme Helguson et Helgudottir. En Russie les femmes prennent un A à la fin de leur nom de famille . Marat Safin donne Dinara Safina pour sa soeur.
Pour lui, le langage parlé, qui occupe un tiers de notre temps quotidien, serait né d'un besoin de se défendre, en particulier contre les armes. Il affirme : « L'Homme s'est mis à parler pour construire autour de lui des réseaux d'information. Ce sont autant de liens créés avec des alliés pour se protéger d'ennemis pouvant l'agresser. »
C'est cela qui a poussé l'homme à donner un nom à chacun des individus qui l'entourait, mais aussi à chaque animal, arbre etc... Ce n'était qu'une histoire de survie plus que de style.
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