Goldman Sachs aurait utilisé des prostitués pour signer des contrats en Lybie

La haute cour du Royaume uni va questionner la banque Goldman Sachs qui est poursuivie par le fond souverain libyen.
Le motif est que la banque aurait utilisé les services de prostitués pour faciliter des échanges commerciaux.

Pour obtenir de juteux contrats avec l'autorité libyenne d'investissement (LIA), la banque a soudoyé ses membres en leur offrant des prostitués, des voyages et des résidence dans des hôtels 5 étoiles.

Le but de la manoeuvre est d'obtenir le soutient de la LIA afin que le fond souveraine libyen investisse sur placements risqués à hauteur de 1 milliard de dollars (les montants divergent car le fonds avait pas mal investi sur plusieurs placements).

Cette histoire date de 2008 quand la crise boursière a fait perdre beaucoup d'argent à beaucoup de monde et donc au fond souverain libyen, qui accuse la banque Goldman Sachs de les avoir délibérément poussé à investir sur des actifs poubelles.

Goldman Sachs sur cette période et grâce à l'investissement libyen avait généré 200 millions de dollars de profit.

Le fond souverain libyen réclame 2,5 milliards de dollars de dommages et intérêts.

La LIA créée en 2007 avait pour but de faire fructifier l'argent du pétrole, et on ne sait pas si les personnes ayant permis ces placements douteux ont été sanctionné.
Quoiqu'il en soit Goldman Sachs réfute tout en bloc.



Ce type de manoeuvre n'est pas inconnu dans le monde de la finance mais peu le reconnaissent ouvertement, c'est gentleman agreement souvent nécessaire dans les grosses transactions qui est rarement condamné.

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